Pourquoi aimons-nous jouer ?
On peut en savoir plus sur quelqu’un en une heure de jeu qu’en une année de conversation.
Le jeu comme témoin du développement cognitif ?
Quasiment tous les bébés animaux jouent mais seules les espèces aillant un développement cognitif développé continuent à jouer à l’age adulte (chiens, chats, perroquets, dauphins…)
Simulacre de lutte ou distraction ?
Le jeu est-il un outil pour comparer nos intelligences, pour déterminer les dominants et les dominés sans faire de blessés ? Ou est-ce simplement un moyen de passer le temps et de se distraire lorsque l’on a plus rien à se dire ? Il y a beaucoup d’inconnus autour du jeu mais une chose est sûre, à en voir les réactions de certains (colère, éclats de voix, rire aux larmes…) quelque chose de profondément humain et d’important se joue !
Le jeu comme apprentissage de la vie ?
Beaucoup de jeux ont pour but d’apprendre comment se comporter ensuite dans la vie réelle. Mais cette explication n’est pas suffisante car on continue d’apprécier de jouer même quand on maitrise les règles et les stratégies de A à Z, et que dire des jeux de hasard !
L’égo mis à rude épreuve
De vieilles rancœurs sonnent encore de parties de Monoply endiablées qui se sont terminées avec un plateau qui vole et des jetons projetés dans toute la pièce. Certains argumenteront que l’on est là « pour jouer », pas de pitié donc à refuser de vendre cette carte qui abrégera la partie de son frère, sa sœur… d’autres répondront que ce n’est pas parce-que c’est un jeu qu’il faut être individualiste et dénué de toute empathie et ne se gèneront pas pour conlcure avec une phrase assassine telle que « on voit que les vraies personnalités se dévoilent… ».
Un beau prétexte pour passer un bon moment avec ses proches
Au final, même si on ne comprends pas tous les tenants et aboutissants des jeux, c’est un bon prétexte pour passer un moment avec ses amis ou sa famille et oublier un moment les douleurs du quotidien.